Actuellement sur le chantier de Villejuif, une opération qui mêle bâtiments de bureaux et de logements, Carl nous raconte son parcours et revient sur son évolution au sein de l’entreprise, enrichie par des chantiers d’envergure.
Quel est ton parcours au sein de Bouygues Bâtiment Île-de-France ?
Je suis entré dans le Groupe en 2005 après un baccalauréat scientifique et un BTS Bâtiment. J'ai commencé en tant qu'Aspirant Chef de chantier par le biais de l'alternance. En parallèle, j'ai suivi des cours du soir dans une école d'Ingénieurs, mais j'ai vite compris que le domaine dans lequel je me projetais était celui de la maîtrise de chantier. J'ai donc suivi le parcours classique sur le terrain pour gagner mes galons. Mon premier chantier était un chantier de bureaux, "La vache noire", à Bagneux. Ça a été le premier pas d'un parcours très riche au sein de Construction Privée, entrecoupé de 2 années chez Rénovation Privée.
Qu’est ce qui te plaît dans le milieu de la construction ?
J’aime voir se concrétiser les projets que l’on construits en équipe et j’ai toujours aimé le travail manuel. D’ailleurs, c’est une passion qui m’anime aussi dans le cadre personnel : j’ai construit ma maison de mes mains et je crée aussi des meubles.
Quels sont les projets qui t’ont le plus marqués dans ta carrière jusqu’à présent ?
Plusieurs tours de la Défense, l’hôtel Royal Monceau, le Tribunal de Grande Instance de Paris et le centre commercial des 3 Fontaines à Cergy : que de projets prestigieux !
J’ai eu la chance de faire des grands chantiers. Ces projets sont marquants par leur ampleur, leur organisation et c’est une grande fierté pour moi de pouvoir les montrer à mes enfants. Maintenant, c’est eux qui disent à leurs copains en passant devant un de mes anciens chantiers « Ça, c’est papa qui l’a fait ! ».
Qu’est-ce qui te plaît dans le métier de Chef bâtisseur chez BYBAT IDF - Construction Privée ?
Ce qui me plaît avant tout, c’est l’adrénaline de ce métier, et bien sûr l’esprit d’équipe. Je pense qu’il y a très peu de corps de métiers où on a un tel esprit de famille. On se dit tout ! En 15 ans, j’ai énormément évolué, je me suis formé, j’ai gravi les échelons, et je progresse toujours. Aujourd’hui, nous avons encore beaucoup de choses à faire évoluer et nous avons les moyens pour faire bouger les choses et de faire évoluer les modes constructifs. C’est une vraie chance et je me vois avancer encore longtemps chez Construction Privée sur de nouveaux projets tout aussi stimulants.
